Les e-ditionslabelvie
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embellir votre vie!
A ce jour 7.000 vies ont été touchées.
Une des causes principales de notre malheur est NOUS-MEME. Je dirais même que nous sommes notre unique cause de malheur ! Plus précisément, ce sont nos pensées à propos de nous-même qui nous empêchent d’être heureux.
Quel genre de pensées ?
Toutes ces gentillesses dont nous nous inondons à longueur de temps :
Avez-vous remarqué ? Nous nous parlons souvent à la deuxième personne. Comme si quelqu’un dans votre tête jugeait nos actions.
Votre Surmoi dirait-on en psychanalyse, votre Parent négatif en analyse transactionnelle, votre juge intérieur,… les dénominations sont nombreuses pour ce bavardage négatif à propos de vous-même
Comment arrêter ça ?
D’abord, en prenant conscience de l’utilité de ce bavardage. (Si, si, il a une utilité)
Imaginons quelqu’un qui marche avec des béquilles. Elles ont été indispensables à la guérison de sa jambe ou de son pied. Mais une fois guéri, il n’a en principe plus besoin de ses béquilles. Comme il a peur d’avoir mal, il les garde, encore et encore. Elles intègrent sa vie et il ne pense même plus à s’en débarrasser. D’accord, l’image est un peu forcée.
Mais c’est ainsi que nous fonctionnons.
Tous nos comportements, même s’ils nous paraissent insensés, sont la meilleure manière pour notre inconscient de nous protéger d’un danger réel ou imaginaire.
Commençons par remercier notre inconscient de nous protéger malgré nous.
L’origine de ce comportement est en fait une question de vie ou de mort, ancré dans nos mémoires :
Notre mémoire personnelle. Depuis que nous sommes petits, nous avons entendu ces paroles ou nous avons imaginé que nos parents les pensaient. Nous pensons que pour nous faire aimer, il faut correspondre à certains critères. Petit enfant, ne pas se faire aimer par ses parents est une menace de mort : en effet, nous ne savons pas survivre sans eux. Normal que notre inconscient veille au grain !
Notre mémoire familiale : ce sont les codes familiaux conscients ou inconscients auxquels nous devons répondre pour être accepté du clan. Dans les générations précédentes, être mis au ban de la société, signifiait la honte et l’exclusion. La menace d’une vie difficile, sans amis, sans travail.
Notre mémoire ancestrale : dans les temps préhistoriques, faire partie d’un clan était une question de vie ou de mort. La nature sauvage et toute-puissante avait tôt fait d’éliminer les faibles incapables de se défendre seuls des animaux. A nouveau, c’était une question de vie ou de mort.
Notre juge intérieur est donc le garant de notre survie. Il est bon de prendre conscience que maintenant, vous êtes devenu adulte et que votre vie ne dépend plus ni de vos parents, ni de votre famille, ni du clan.
Maintenant que nous avons pris conscience de ce comportement, il s’agit de mettre des douaniers dans notre tête.
C’est-à-dire de
Pas facile à faire j’en conviens. C’est une discipline de tous les jours au début. Vous verrez, on finit très vite par s’en rendre compte.
Ensuite c’est une question de choix : voulez-vous être plus heureux ou non ?
Pour voir les résultats des pensées négatives sur nous-même, je vous engage à relire cet article : « Voulez-vous devenir comme ce riz ? » . Cela vous aidera sûrement à arrêter !
Si vous voulez retrouver toutes mes astuces pour être heureuse,
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Crédits photographiques : sippakorn- freedigitalphotos.
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"C'est comme une oasis dans l'immense folie d'Internet"
Lysbeth (La Havane)