Les e-ditionslabelvie
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Lisez des eBooks Je demande pardon,
Écrivez VOTRE eBook je suis désolée,
merci, je t'aime
Des eBooks pour
embellir votre vie!
A ce jour 7.000 vies ont été touchées.
Nous sommes toujours au Pays des Bisounours. J’adore vivre dans cette idée que nous sommes maîtres de notre bonheur à défaut de l’être totalement de notre destinée.
Depuis le début de l’année, nous débusquons tous les obstacles qui nous empêchent de vivre heureux.
Notre programme se trouve ici .
Quel est le menu de cette semaine ?
Il faudrait presque une baguette magique pour nous débarrasser de cette fâcheuse tendance que nous avons : nous plaindre !
Observez les conversations
Rien que des plaintes sur la vie qu’on mène, notre santé, le gouvernement, les impôts, la météo, les enfants, le mari, la circulation, le patron, les collègues, la fatigue, … J’arrête là, vous voyez très bien ce que je veux dire.
Mais là n’est pas le pire : nous avons parfaitement conscience que le monde est rempli de Schtroumpfs grognons et que nous en sommes un fameux nous aussi.
Donc, si nous en avons conscience, il suffit d’arrêter le processus. Et je reconnais, ce n’est pas toujours facile !
Et qu’est-ce qui est pire ?
Les plaintes que nous émettons sur notre histoire :
Et tous les problèmes que nous avons rencontrés depuis notre naissance et dont les autres sont bien sûr responsables.
Que faire avec tous nos malheurs ?
Nous pouvons continuer à les porter jusqu’à la fin de nos jours… Ou les laisser sur le bord du chemin.
Et c’est là que les choses se compliquent.
Nous n’avons pas envie de les abandonner. Même si nous nettoyons ces problèmes en thérapie, nous avons tendance à les garder précieusement comme des blessures de guerre. Des blessures qui méritent des médailles du courage, voire la croix d’honneur.
Il existe des quantités de pistes pour les abandonner, un article ne suffira pas...
Pour avancer, une question à se poser :
Qui suis-je sans mon malheur ?
Comme dirait Boris Cyrulnik : ce merveilleux malheur. Mais si Cyrulnik y parle de résilience, cette capacité de rebondir dans l’enfance face aux événements de la vie, je parle de ceux d’entre-nous qui ne sortent jamais vraiment de leur malheur.
Je sais de quoi je parle : j’ai utilisé ce comportement pendant des années. J’avais cette tendance à transformer en malheur tout ce qui m’arrivait. Jusqu’au jour où j’ai vraiment vécu un drame : la mort de ma fillette de huit mois. J’avais enfin une bonne raison de me plaindre de ma pauvre vie. Il était clair à mes yeux que j’étais victime du destin.
J’ai failli rester dans le piège mais cette impuissance perpétuelle m’a mis des pieds au derrière !
A quoi ressemble un soldat sans médaille, sans mérite, surtout sans reconnaissance ?
Voilà la raison pour laquelle nous restons dans cette mélasse puante du malheur : personne ne mesure vraiment l’intensité de la souffrance que nous ressentons. Pour la simple raison que c’est impossible.
Et nous allons devoir nous y faire ! Même notre gentil thérapeute compréhensif est incapable de nous enlever notre sac à dos. C’est de notre responsabilité.
La semaine prochaine, je vous donne des pistes pour enfin vous libérer de votre merveilleux malheur
En attendant, vous pouvez toujours regarder cette vidéo
Crédits photographiques :
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"C'est comme une oasis dans l'immense folie d'Internet"
Lysbeth (La Havane)
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