Les e-ditionslabelvie
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Lisez des eBooks Je demande pardon,
Écrivez VOTRE eBook je suis désolée,
merci, je t'aime
Des eBooks pour
embellir votre vie!
A ce jour 7.000 vies ont été touchées.
28 jours aujourd'hui de lâcher prise depuis le début de cette année. 28 jours d'aventure.
Et 28 jours où ma patience et mon ego sont mis à rude épreuve.
Puis, sortie de nulle part, une belle surprise, deux belles surprises qui font chaud au coeur.
Je vous raconte?
Pour recevoir, il faut ouvrir les bras. Et pour ouvrir les bras, il faut mettre à nu toute notre cage thoracique, là où se trouve notre organe principal, notre coeur. Je parle à la fois du muscle cardiaque et de cet outil merveilleux qui nous connecte à tous les êtres vivants (et je considère que les pierres, les étoiles et tout l'Univers sont des êtres vivants).
Avez-vous déjà essayé d'ouvrir vos bras alors que vous vous sentez en danger? Bien sûr, il ne s'agit plus d'affronter un ennemi armé d'un lance, prêt à vous transpercer de part en part. Le danger s'est déplacé au niveau psychologique. Le danger de se faire blesser émotionnellement est devenu bien réel et peut produire exactement les mêmes peurs et réactions physiques qu'une blessure sanglante. Il peut donc se ressentir dans notre coeur. Ne dit-on pas "Mon coeur saigne"?
Ouvrir ses bras, cela veut dire aussi faire de la place à l'imprévu dans une organisation hyper-chronométrée.
Ouvrir ses bras (et son coeur évidemment), c'est une autre manière de dire "oui" : avec son corps plutôt qu'avec des mots.
Pourtant, nous sommes en fermeture la plupart du temps. D'ailleurs, nous occupons rarement cet endroit de notre corps, tellement le mental courcircuite nos énergies vers sa petite personne. Vous savez, cette petite voix dont je vous parle depuis deux semaines.
Pratiquement, pour moi, cela se passe ainsi :
Dès que je suis sollicitée (un mail, un sms, un coup de fil, une visite), dès qu'un événement inattendu se présente dans mon quotidien, je sens la panique monter en moi. Un grain de sable est en train de bouleverser MES plans, MON organisation. EGO 1.0 tourne à plein rendement et le ventilateur se met en route, soufflant MES idées dans tous les sens. Je suis complètement fermée sur moi-même, MOI-même devrais-je dire.
STOP! Ça suffit!
J'ai décidé de laisser le flux de l'Univers passer à travers moi, de lui ouvrir les bras, de l'accueillir et ... de m'effacer.
Dans le petit jeu du lâcher prise, il ne s'agit plus de son intérêt personnel mais de l'intérêt de l'univers. Se mettre au service de cette force d'Amour qui nous traverse à chaque instant et qui compose le pseudo-vide de nos cellules.
On n'est pas non plus dans du "Je me sacrifie" pour les autres. Non, juste ouvrir les bras à la proposition.
Qu'est-ce que ça a à voir avec recevoir des fleurs d'un inconnu? Je pourrais presque dire recevoir un bouquet de fleurs de l'Inconnu.
Début de cette année, je reçois un mail d'une dame qui dit suivre mes activités depuis quelques temps et qui a envie de me rencontrer.
Première réaction:
Mais aussi :
Vous voyez, l'altruisme arrive en seconde position avec la culpabilité.
Mais vous savez maintenant qu'il existe une connexion à un autre progamme en ligne : SOI 1.0
Il se met en route assez rapidement maintenant : un pas en arrière, une petite méditation, un peu de Ho'Oponopono (le petit programme de nettoyage du disque dur) et finalement, la réponse est OUI. Les bras sont ouverts sur un coeur ouvert.
Admirez comme les choses se mettent en place toutes seules.
J'adapte les conditions pratiques (jour-heure-lieu) pour être le plus cool possible, sans aucune arrière pensée, puis j'oublie. J'oublie tellement bien que c'est elle qui me rappelle notre rendez-vous par SMS suite à ... un plantage de son internet qui ne lui permet plus de voir l'adresse du rendez-vous.
Rendez-vous dans un Hôtel-restaurant près de chez moi. La dame doit rouler 40 minutes pour venir et moi 10.
Je me sens immédiatement à l'aise, on se tutoie d'emblée et le contact s'installe. Beaucoup de points communs, d'écoute respective, de sentiments partagés. Deux belles heures qui me remplissent de gratitude. Pendant que ma nouvelle amie s'absente un moment, j'en profite pour payer l'addition. Elle fait 40 minutes de route, je lui dois bien ça et avec beaucoup de plaisir.
Nous nous quittons en nous embrassant, c'est sûr, on reste en contact.
Et bien sûr ce n'est pas tout
Le lendemain, on sonne à la porte : une fleuriste livre un magnifique bouquet de fleurs avec une petite carte.
Voyez comme il est beau.
Finalement, dire oui, c'est comme si c'était Noël tous les jours!
Aventure en lâcher prise - Semaine 3
L'histoire ci-dessus est une partie de ce qui est arrivé cette semaine suite aux "oui" que j'ai osé dire. Un ami a payé ma place pour un atelier, une amie m'a invitée à l'accompagner pour une soirée apéro. J'ai hésité à dire oui à un second week-end à Paris et finalement, de belles rencontres se mettent en place également. J'ignore où tout cela conduira et même si cela conduira quelque part. En attendant, ça occupe ma vie d'une manière tout à fait agréable.
J'ai aussi dit "oui" à l'écriture d'un nouveau livre.
Et vous? J'attends les histoires....
Crédits photographiques : www.freedigitalphotos.net - Feelart
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"C'est comme une oasis dans l'immense folie d'Internet"
Lysbeth (La Havane)
Commentaires
Très chouette bouquet !
De mon côté, j’essaie de "lâcher prise" le plus possible Je dis "j'essaie" car comme tu le dis si bien, ce n'est pas la première réaction habituelle que l'on a ou du moins que j'ai mais j'y pense et je lâche autant que possible et je sais qu'a force cela deviendra un reflex. En tout cas j'y prends du plaisir car j'adore essayer de nouvelles choses!
Au plaisir de te lire dans la suite de cette aventure!
Nathalie L
Tu as raison, notre première réaction est de se braquer. Ego 1.0 se met en route à l'ouverture du défi!
Bonne journée et à bientôt.
Marie-Noël
Cette semaine, j'ai (enfin) pu commencer à dire OUI à une souffrance qui cherche à se présenter face à moi depuis quelques semaines. J'ai eu très peur car je craignais qu'en ouvrant ainsi les bras elle me submerge et me noie... C'est effectivement ce que j'ai ressenti pendant quelques jours, j'ai bu quelques tasses... Aujourd'hui je sens la vague se retirer, je suis toujours là, j'ai survécu, je respire. Je me remets à sourire à moi-même, aux autres, à la vie. J'ai envie de dire MERCI
je ne suis pas une grande spécialiste de la gestion de la douleur mais je l'ai constaté aussi : en premier lieu on se focalise sur l'endroit de la douleur. En lui ouvrant les bras, on lui permet d'occuper plus de place dans notre corps et c'est comme si son intensité se diluait.
Une autre astuce est de l'examiner : sa forme, sa couleur, sa matière, sa température, son âge et une fois qu'on a appris à la connaître (ça prend 5 minutes), ressentir l'énergie qui est en elle sans lui mettre d'étiquette.
A cette étape succède l'étape de la bienveillance et de l'amour : on enveloppe notre douleur dans beaucoup d'amour et nous nous enveloppons, nous qui souffrons, dans beaucoup d'amour.
Bon courage Jocelyne dans votre lâcher prise.
Marie-Noël
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