C'est bien ma jambe!

Je reviens de Toscane en Italie. De Sienne plus précisément.

Il y a fait magnifique, pas trop chaud, ensoleillé, le rêve quoi.

Et dès qu’il y a des pierres chaudes, il y a des lézards.

J’adore les lézards. Il suffit que je m’asseye sur une grosse pierre pour que des lézards apparaissent et viennent me mordre les doigts. J’ai donc le temps de les observer.

Voici ce que j’ai découvert à propos du bonheur en les regardant vivre :

On rêve tous d’avoir une belle maison, une superbe voiture voire même un yacht rutilant.

Mais est-ce que toutes ces choses vont vraiment nous rendre heureux ?

Vous connaissez la réponse, n’est-ce pas ?

Baptistère de l'église orthodoxe de La Havane

Ce dimanche, j'ai vraiment envie de vous faire partager mon bonheur d'être revenue de vacances.

En effet, revenir à la maison après avoir passé du temps loin de chez soi a quelque chose de magique pour moi.

D'autant plus quand on voyage dans un pays démuni comme Cuba, et dans une ville qui s'effondre comme La Havane.

Vous me direz: "Mais tu étais quand même mieux en vacances!"

Qu'est-ce qui change?

La plupart des patients que je reçois vont mal : normal sinon ils ne feraient pas appel à un thérapeute. Et au fil des semaines, leur état s’améliore petit à petit.

Puis un jour, ils se sentent à nouveau mal et sont tout étonnés.

Cela vous est sans doute arrivé : pendant toute une période, la vie tourne harmonieusement et tout à coup, le moral dégringole.

C’est un des principes de la vie que nous oublions souvent :

Les petits enfants savent dire non très rapidement. Avec ce non, ils affirment leur identité.

C’est que depuis leur plus jeune âge, nous leur disons non. Ces « non » sont des garde-fous, des remparts, des murs contre lesquels ils doivent s’appuyer pour monter vers le ciel. Le non protège autant qu’il limite.

Nous avons pris l’habitude de nous définir avec des interdictions plutôt qu’avec des permissions.

Quel lien le non a-t-il avec le bonheur ?

Nous nous sommes appropriés (ou nous avons gardé) des réflexes de singes.

Ce comportement nous empêche d’arriver au bonheur. Sauf que la plupart du temps, nous ne nous rendons même pas compte que nous en sommes à l’origine.

Comme toujours l’autre (notre généalogie, notre ADN, les circonstances extérieures) nous a piégé. Mais est-ce vraiment vrai ?

Découvrons ce comportement nuisible à notre bonheur  

Il existe plein de choses dont nous devrions nous débarrasser pour être heureux.

Il est grand temps de faire notre nettoyage de printemps. Cette semaine, on fait le ménage dans nos regrets : tous ces choix qu’on a faits ou qu’on n’a pas eus.

Et tous les SI qu’on se donne comme excuses

Il était une fois un jeune psychiatre nommé Hector qui n’était pas très content de lui : il voyait bien que, malgré sa bonne volonté, il n’arrivait pas à rendre les gens heureux. Hector décide alors de partir courir le monde afin de comprendre ce qu’est vraiment le bonheur.

C’est un peu l’histoire des articles de cette année : j’essaie de vous donner des pistes (que j’ai parcourues) pour vous donner le goût du bonheur.

L’auteur François Lelord arpente les mêmes questions à travers le voyage de son héros.

Quelles questions ? Quelles réponses ?

La semaine dernière , nous avons découvert que le bonheur n’appartenait ni au passé ni au futur mais à l’instant présent.

Facile à comprendre, mais comment fait-on pour arriver vraiment à vivre cet instant?

Quels chemins pour apprendre à s’installer dans l’instant présent ?  

Vous n’allez pas en croire vos oreilles. Je vais vous révéler le meilleur endroit au monde pour être heureux.

Et encore plus fort : vous pourrez y accéder dès que vous aurez fini de lire cet article.

Elle est pas belle la vie ?

Mais peut-être ne me croirez-vous pas !!